Rumor Across The Town

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vendredi 30 avril 2010

Drive Like Jehu . 90's dans ta face !


Le son 90's me rend toujours autant tarée !
un petit passage rapide sur "Drive like Jehu"


Drive Like Jehu
était un groupe de post-punk/post-hardcore mené par Rick Froberg et John Reis, alias Speedo de Rocket from the Crypt, formé en 1990 à San Diego, Californie, États-Unis, et dissout en 1995. Leur musique combine des éléments de rock et de punk rock, avec des changements complexes de signatures rythmiques et des entrelacements alambiqués de rythmes de guitare, et est quelquefois décrite comme du noise rock, du math rock ou du sludge rock.


"Sinews" Enormissime !


Caress

jeudi 29 avril 2010

Fascinante NICO.

A cette époque tout était ou semblait incroyablement fascinant... résumé de la vie de Nico sous Wikipedia.

Nico
, de son vrai nom Christa Päffgen, est une chanteuse, mannequin et actrice allemande née le 16 octobre 1938 à Cologne et morte le 18 juillet 1988 à Ibiza.

Elle est principalement connue comme chanteuse aux côtés de Lou Reed dans le premier album du Velvet Underground, The Velvet Underground and Nico (1967), bien qu'elle ait en solo enregistré six albums et se soit produite en concert pendant les vingt années qui suivirent. Elle a également joué au cinéma chez Federico Fellini, et surtout Philippe Garrel, et publié un recueil de poèmes ; Chemin d'une vie.

Christa Päffgen débute une carrière de mannequin à 15 ans et devient célèbre par sa présence dans de nombreuses revues. Jeune fille, elle vit à Paris et y rencontre le célèbre photographe Tobias qui la surnomme Nico d'après le prénom de son ancien amant, le réalisateur Nico Papatakis. Elle travaille alors pour des magazines comme"Jardin des Modes" (1956),Vogue, Tempo, Vie Nuove, Mascotte Spettacolo, Camera, Elle, et est engagée par Coco Chanel.

Premiers films avec Andy Warhol

En 1964, Nico rencontre Brian Jones, des Rolling Stones, et enregistre son premier titre, I'm Not Sayin, pour le label Immediate de Andrew Loog Oldham.

Pendant l'été, l'acteur Ben Carruthers la présente à Bob Dylan, qui écrira quelque temps après une chanson inspirée d'elle: I'll Keep It With Mine. Elle commence à travailler à cette époque pour Andy Warhol et Paul Morrissey dans des films expérimentaux, comme Chelsea Girls, The Closet, Sunset, et Imitation of Christ.

Nico et The Velvet Underground

Après avoir joué dans les films de la Factory de Warhol, Nico est introduite auprès du Velvet Underground, qui joue à l'époque pour la performance de Warhol, Exploding Plastic Inevitable, associant à la fois film, musique, lumières et danseurs pour une expérience théâtrale « totale ». Chanteuse à la voix gutturale, monocorde et presque dénuée d'inflexions, Nico travaille ainsi sur quatre chansons de leur premier album The Velvet Underground and Nico. L'album sort en 1967 et deviendra une des grandes références du rock. Nico a une brève relation avec Lou Reed (comme elle en aura avec d'autres musiciens, John Cale, Jim Morrison, Iggy Pop, Jackson Browne, Brian Jones et Tim Buckley).

Cependant Nico quitte assez rapidement le Velvet Underground pour des raisons incertaines, la plus vraisemblable étant le peu de place que Lou Reed lui faisait au sein du groupe. Elle commence alors une carrière solo, et enregistre dans les deux décennies suivantes une série d'albums acclamés aujourd'hui par les critiques, avec notamment Brian Eno et Phil Manzanera. John Cale surtout s'est particulièrement impliqué : il l'a encouragée à écrire et composer, a produit quatre de ses albums, tout en s'occupant des arrangements et en jouant de plusieurs instruments.

Les années 1960

En 1967, Nico sort son premier album solo, Chelsea Girl, dont certaines chansons sont composées par Bob Dylan, Tim Hardin, Jackson Browne et par les membres du Velvet Underground. Cet album un peu folk contient des arrangements de cordes et de flûtes ajoutés par son producteur, arrangements dont Nico semble ne pas avoir été du tout satisfaite.

Pour son second album, The Marble Index, sorti en 1969, et grâce aux encouragements de John Cale, Nico écrit toutes les paroles et la musique. John Cale, producteur de l'album, considère que c'est le premier album de rock à abandonner les instrumentations et structures traditionnelles. Nico y joue de l'harmonium, instrument qui deviendra le sien pour le reste de sa carrière. L'album est influencé par la musique classique et les chansons traditionnelles européennes.

Les années 1970

Cale produit dans les années 1970 ses albums Desertshore et The End : Nico est à l'harmonium, les arrangements glissent du néo-classique à l'avant-gardisme, les textes parlent de solitude, de pouvoir, d'héroïsme, de l'oscillation entre désir et détresse.

En 1974, elle figure avec une chanson (The End, reprise des Doors, et morceau-titre de son dernier album) aux côtés de Brian Eno, Kevin Ayers et John Cale, dans le 33 tours June 1, 1974 enregistré lors d'un concert de promotion des artistes « de frange » du label Island. Elle chante la même année sur l'album d'Ayers The Confessions of Dr. Dream and Other Stories.

Pendant cette décennie, elle partage son temps entre les films de Philippe Garrel, son compagnon, les concerts, et son fils Ari. Elle devient peu à peu héroïnomane. On a longtemps attribué son comportement idiosyncratique (une forme d'autisme) à cette dépendance, mais ce comportement était antérieur à sa consommation d'héroïne, et serait aujourd'hui sûrement attribué au syndrome d'Asperger.

Entre 1970 et 1979, Nico a joué dans sept films du réalisateur Philippe Garrel, qu'elle a rencontré en 1969 : sa première contribution à l'œuvre de Garrel est la chanson The Falconer pour son film Le Lit de la vierge. Elle vit ensuite avec lui, et devient alors une figure centrale de son œuvre et de sa vie.

En tant qu'actrice, Nico apparaît pour la première fois dans La Cicatrice intérieure en 1972, où elle tient le rôle principal auprès de Philippe Garrel lui-même; son fils Ari est également au générique. Elle compose également la bande originale, et participe à la réalisation.

Sa participation diminue cependant dans les films suivants, dont Les Hautes Solitudes en 1974.


Les années 1980

En 1981, Nico enregistre Drama of Exile, qui contraste avec ses travaux précédents avec John Cale en mêlant rock et arrangements moyen-orientaux.

Elle enregistre son dernier album, Camera Obscura, en 1985. Cet album est très expérimental, avec pourtant des instrumentations jazz : il comprend une reprise du standard My Funny Valentine.

De nombreux concerts de cette époque sont enregistrés et édités, notamment Heroine en 1982, Behind the Iron Curtain en 1986, et son tout dernier concert, Fata Morgana, enregistré le 6 juin 1988, soit à peine plus d'un mois avant sa mort.

Elle vit alors avec le poète et performer punk John Cooper Clarke.

La fin, et ensuite










Le 18 juillet 1988, à 49 ans, Nico meurt à l'hôpital d'une hémorragie cérébrale, quelques heures après une chute à vélo sur l'île d'Ibiza. Selon certaines sources, sa chute serait la conséquence d'une insolation (Le Rock de A à Z, paru en 2000 chez Albin Michel).

En 2001 est paru L'Amour n'oublie jamais, les mémoires de son fils Ari, contenant des photos inédites.

Dans son album Kissin' Time (2002), Marianne Faithfull lui rend hommage à travers la chanson Song for Nico, coécrite avec Dave Stewart. Elle y évoque les relations de Nico avec Brian Jones, Andy Warhol et Alain Delon.

En juin 2007, le célèbre groupe de musique industrielle Throbbing Gristle, suite à une installation performance, a enregistré une réinterprétation de Desertshore, publiée dans un coffret collector de 12 CD-R intitulé The Desertshore Installation.

En 2009 sort un roman d'Alban Lefranc inspiré par Nico : une biographie imaginaire où il fait du comique américain Lenny Bruce et du photographe allemand Herbert Tobias les personnages centraux dans l'itinéraire de la chanteuse.


mercredi 28 avril 2010

Día de los Muertos, il y'a de la couleurs chez les morts !



En quelques mots très rapide, voici un petit article sur la fête des morts au Mexique (Día de los Muertos) ...Un univers que je ne connais pas depuis très longtemps... le tattoo m'y a emmené il y à un peu moins de deux ans ... depuis , je fais une sacrée fixette sur les squelettes et j'ai développé une véritable passion sur la beauté de cette fête .....

La bio Wiki :

Le Jour des morts (en espagnol Día de los Muertos) est une forme particulière de fête des morts typique de la culture mexicaine et d'Amérique centrale qui s'observe aussi dans le sud-ouest des États-Unis,parce qu'elle comporte une importante communauté chicana.[2]

Elle a lieu du 1er au 2 novembre, en même temps que les fêtes chrétiennes de la Toussaint et de la Commémoration des fidèles défunts, mais les festivités peuvent durer beaucoup plus longtemps, comme c'était le cas dans les traditions précolombiennes qui en sont à l'origine, avant qu'elles ne soient récupérées et adaptées par l'Église catholique.

Elle a la particularité d'être célébrée de manière très festive, avec de la musique, de grandes quantités de nourriture et de boisson, des décorations aux couleurs vives et de nombreuses représentations caricaturales de la mort.


Origines précolombiennes:


Les rites dédiés aux ancêtres, dans les civilisations mésoaméricaines, qui seraient à l'origine de la fête actuelle du jour des morts, remontent à environ trois mille ans[3].

À l'époque préhispanique, il était également courant de conserver des crânes comme trophées de guerre et de les afficher lors de rituels pour symboliser la mort et la renaissance.

Les festivités à l'origine du Día de Muertos étaient dédiées aux proches défunts. Elles étaient célébrées entre le neuvième et le dixième mois du calendrier solaire mexica correspondant aux mois de juillet et d'août, et étaient présidées par la déesse Mictecacihuatl, la "Dame de la Mort", épouse du Seigneur de la terre des morts, Mictlantecuhtli.

La première de ces fêtes, Miccailhuitntli, à la mi-juillet, était dédiée aux enfants défunts. Elle commençait avec la coupe du xócotl, un arbre dont on retirait l'écorce et qu'on décorait de fleurs. Tout le monde y participait et faisait des offrandes à l'arbre pendant vingt jours.

Autels et offrandes :

Des autels sont installés dans les maisons et des chemin de fleur indiquent aux morts le chemin de leur anciennes maisons.

La visite rituelle aux cimetières, qui a la particularité d'être très festive, est l'occasion de nettoyer les tombes des défunts et de leur apporter des offrandes de fleurs (principalement celles du zempaxuchilt, la rose d'Inde) et de nourriture.


Marre de la grisaille Vive les cimetières colorés !!

mardi 27 avril 2010

ROCK VINYLS : 50 ans de vinyles.

Le ptit achat du jour : "Rock Vinyls" a conseiller à tous les amoureux du disque !

" On était persuadés d'entamer une ère nouvelle. Le rock'n'roll a changé le monde. Il a remodelé la façon de penser. C'était un peu comme avant et après Jésus Christ, et 1956 a été l'année zéro ". Keith Richards. Du blues boom anglais, au début des années 60, à la musique grunge, au milieu des années 90, en passant par le psychédélisme, le glam et le punk, le rock s'est imposé comme le mouvement musical le plus important du XXe siècle. Le vinyle, 33 ou 45 tours, a été le support privilégié de sa diffusion à travers le monde. Les nombreuses facettes de cette musique, reflets de l'évolution de la société, se sont notamment matérialisées sur les pochettes des vinyles, pour lesquels les meilleurs dessinateurs, graphistes et photographes ont été mobilisés par les labels. A travers près de 700 couvertures historiques ou hors du commun, de citations, d'anecdotes, ce livre raconte l'histoire du rock, de ses légendes, de ses groupes, célèbres ou inconnus, et nous plonge dans le tourbillon de 40 années de création musicale et graphique. . Précédé d'une nouvelle de François Thomazeau, journaliste et écrivain, le texte de Dominique Dupuis nous permet d'appréhender cet univers d'une grande richesse qui a marqué plus de trois générations.