Rumor Across The Town

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samedi 24 avril 2010

Jim Jarmusch quoi !


J'avais pas encore parlé de cinema sur ce blog, j'ouvre donc la danse avec ce cher et grand Jim Jarmusch, Je balance la bio wikipedia et j'enchaine avec quelques clips comme ceux qu'il avait réalisés pour Tom Waits

DE LA BOULETTE !!



Réalisateur américain, Jim Jarmusch est né le 22 janvier 1953 à Akron (Ohio). Marqué par de grands noms (Antonioni, Mizoguchi, Ozu…) qu'il découvre à la cinémathèque de Paris, il s'inscrit à la New York University Graduate School en cinéma. Son film de fin d'études Permanent Vacation ne passe pas inaperçu dans les nombreux festivals de films de 1980. Déjà on découvre des caractéristiques qui définiront le style et les scénarios de Jarmusch : dandysme désabusé de « anti-héros », travail dans l'ascétisme, appétence pour la description des marginaux, tendance à montrer un quotidien étrange, décalé…
En 1984, il remporte la caméra d'or au festival de Cannes avec Stranger Than Paradise. Après avoir fait quelques apparitions comme acteur, notamment dans Brooklyn Boogie, il fait un premier pas, dans le monde du documentaire (Year of the Horse) en 1997. Avec la sortie de Coffee and Cigarettes en 2003 dont la réalisation fut étalée sur près de 20 ans, il revient avec la pellicule en noir et blanc, un style qu'il maîtrise à la perfection, et une photographie hors pair.

Clips réalisés par Jim Jarmusch :

I don't wanna grow up /Tom Waits



It's allright with me/Tom Waits


Dead Man/Neil Young


Steady as she goes/ The Raconteurs



Allez tant que j'y suis, quelques photos du chef d'œuvre qu'il avait sortit en 2003 "Coffee and Cigarettes" , ça fait du bien de se remémorer les images du film (et sourire aussi )..............








Un extrait ahhhh !!

vendredi 23 avril 2010

Steve Albini "Le maitre du micro ambiant"

Ma putain de claque Avec Steve Albini été après avoir acheté l'album "in utero" de Nirvana en 95 , ma première réflexion a été : "Mais c'est quoi ce truc ! on dirait que le groupe jouent dans ma chambre !" c'était incroyable puissant et si clair que je compris immédiatement que j'avais a faire au même type sur l'album "surfer rosa" des Pixies .
Quelques temps plus tard en écoutant l'album "ride of me " de pj harvey , j'ai decidé de me rapproché et m'intéresser de plus près au producteur , le maitre du micro ambiant, celui qui fait "chanter" les batteries comme personne ... MR ALBINI

Steve Albini producteur mais aussi Fondateur des groupes Big Black, Rapeman et de l'actuel Shellac, son rock brutal et minimaliste a joué un rôle influent dans la scène américaine indépendante des années 1980 : en introduisant des sonorités venues de la musique industrielle britannique, il a posé les jalons du noise rock et du rock industriel naissants.

Rapeman :


Big Black:


Shellac:



Quelques productions :

mercredi 21 avril 2010

Happy Birthday Mr Robert smith ! (21 Avril)

Allez un p'tit hommage à ce cher Robert Smith qui fête ses 51 ans aujourd'hui ...







mardi 20 avril 2010

Selection de 6 tracks Act I ! (20.04.10)


Les beaux jours arrivent et la sélection d été aussi !! : ))

1-Sad Lovers and Giants – Echoplay
2-GENERAL DECAYPyramid (Enjoy The End)
3-AusgangCrawling the Walls
4-Play Dead – The Tenant
5-AusgangPressed To Your Breast
6-Bone OrchardFats Terminal






Sad Lovers and Giants – Echoplay


GENERAL DECAYPyramid (Enjoy The End)


AusgangCrawling the Walls


Play Dead – The Tenant


AusgangPressed To Your Breast


Bone OrchardFats Terminal



à suivre ...

samedi 17 avril 2010

Hystérique "The jesus lizard "

Après la séparation de Scratch Acid en 1987, le bassiste David Wm Sims quitte le Texas pour rejoindre Rapeman, le nouveau groupe de Steve Albini, à Chicago. La formation est éphémère et se sépare dès 1989. En 1988, David Yow s'était lui aussi rendu à Chicago dans le but de former un nouveau groupe : il recrute l'ancien guitariste de Cargo Cult, Duane Denison (diplômé du conservatoire de jazz) et, s'estimant trop mauvais bassiste, fait de nouveau appel à Sims. Le trio se baptise The Jesus Lizard. Il donne son premier concert le 1er juillet 1989 à Chicago. Après la sortie du EP Pure réalisé avec une boîte à rythmes et produit en collaboration avec Albini, le groupe signe un contrat avec le label Touch and Go Records (Big Black, Butthole Surfers...).


En 1990, Mac McNeilly (ancien de Phantom 309) intègre le groupe en tant que batteur et le premier album intitulé Head est mis en vente. L'année suivante sort Goat et le groupe est repéré par la critique, notamment par le magazine Spin : « The Jesus Lizard se taille une réputation de sauvagerie sans égale »grâce à ses concerts énergiques et un chanteur hystérique qui n'hésite pas à s'exhiber, s'uriner dessus, ou se mutiler sur scène, entre autres agissements déviants.

Après la sortie de Liar fin 1992, le groupe partage l'affiche avec les groupes les plus prestigieux de la scène indépendante : Boss Hog, Nirvana, Fugazi etc.. Le groupe effectue également une deuxième tournée en Europe, dont le premier concert a lieu au célèbre Marquee Club de Londres. 1993 est l'année de la consécration. Le groupe publie Puss/Oh the Guilt, un single split en collaboration avec Nirvana (qui rencontre un succès considérable et totalement imprévu après la sortie de son album Nevermind).

La frénésie et les hurlements de Yow commencent à se faire plus mesurés, il chante d'une façon plus conventionnelle ; les productions du groupe murissent, en particulier sous l'influence de la grande technique de Denison. Début 1994, l'album live Show, sorti chez Giant Records, filiale de Warner, vient illustrer ce nouveau tournant. Des tensions commencent à apparaître entre le groupe et son producteur habituel et proche, Steve Albini, un détracteur forcené des majors du disque. La même année le groupe fait une nouvelle apparition au Reading Festival, sort l'album Down, qui rencontre un grand succès, et le groupe est plus que jamais courtisé par les majors. Il signe finalement chez Capitol en 1995, une signature qui marque la fin de sa collaboration avec Albini. Le groupe fait un triomphe au festival américain itinérant Lollapalooza la même année ; au cours d'un de ces concerts, Yow est arrêté par la police pour exhibitionnisme.


En 1996, Jim Kimball remplace McNeilly à la batterie et le groupe sort Shot, son premier album chez sa nouvelle maison de disque, produit par Garth Richardson ; en regard des compositions précédentes du groupe, l'album est jugé décevant par certains critiques (« décent », « pas un mauvais album, mais pas aussi bon qu'il aurait dû l'être »). Le groupe participe également à la bande originale du film Clerks avec sa chanson "Panic in Cicero".

Un dernier album intitulé Blue sort en 1998 ; le groupe annonce officiellement sa séparation le 1er juillet de l'année suivante.

En novembre 2008, pour les dix ans de sa séparation, le groupe annonce sa reformation pour le temps de quelques concerts. À cette occasion les quatre premiers albums du groupe seront également republiés dans une version remasterisée par Bob Weston, compagnon de route de longue date d'Albini.

image live :



samedi 10 avril 2010

The hardcore collection le film de Richard Kern

Maître de l'underground et du fétichisme new-yorkais, le réalisateur et photographe Richard Kern a signé dans les années 80 des petits films indépendants qui ressemblaient à du John Waters sans l'humour. La ressemblance provient d'une envie commune d’utiliser le mauvais goût. La différence, c'est que Kern l'utilise à des fins plus politiques. Depuis ses débuts, il veut transformer les perversions en tendances glamours, célébrer l’anormalité pour provoquer les bonnes mœurs et rendre compte d’un malaise abyssal. En somme, exposer les fêlures d’un tonton Sam sagement rangé dans son image policée. Dans les années 80, l'artiste a proposé une alternative roborative dans un système Hollywoodien longtemps avant Bruce LaBruce, Nico B & Rozz Williams et Harmony Korine. Ceux qui aiment le groupe Sonic Youth – pour lequel il a réalisé des clips – ne doivent pas se priver de découvrir son travail cinématographique. La bonne nouvelle, c'est que cette collection de films est désormais disponible en zone 2.

Ce n'est qu'en 1983 que l'autodidacte Richard Kern commence sa carrière cinématographique, sous l’impulsion de Nick Zedd, un proche collaborateur qui avait déjà réalisé quelques essais remarqués (on lui doit The Bogus man, en 80). Avec seulement 5 dollars, il achète une caméra Super-8 et démarre en filmant ses amis face caméra qui blablatent pendant des heures. Kern diffuse ces expérimentations riches en personnalités (Lydia Lunch, Lung Leg, Cassandra Stark, Sonic Youth, Tommy Turner) pendant des concerts et des « acid parties ». De là découle un nouveau mouvement : le « Cinéma de la Transgression ». Un mouvement dont se revendique un certain Bruce LaBruce (No skin off my ass). Dans les films de Kern confusément tournés en super 8, 16mm et vidéo, à mi-chemin entre le porno et le gore, les personnages se shootent, se percent, s’entaillent, se cognent, violent, assassinent, « sadisent », « masochisent » et baisent pour de vrai. Ce sont les mutants provocants de l’Amérique Reaganienne. Lydia Lunch, qui deviendra sa muse, l’accompagne dans l’aventure ; Henri Rollins, son pote, aussi. Tous les deux en tant qu'acteurs. Ensemble, ils essayent de créer de nouvelles positions cinématographiques et veulent ostensiblement repousser des limites. Jim Thirlwell se charge de faire monter la pression avec une bande-son lancinante qui deviendra un élément clé dans l’univers de Kern.

Le but premier est de tester les résistances du spectateur comme à la bonne époque de Warhol à travers des provocations bien senties (demoiselle qui fait un strip-tease, s’arrache un œil et s’enfonce un couteau dans le ventre). De peur d’affronter l’hostilité du public, Kern conserve précieusement ses films et ne les diffuse qu’à ses amis proches. Jusqu’à ce qu’il se décide à franchir le cap. Dans la liste, on découvre The Manhattan Love Suicides qui se présente comme une série de quatre courts-métrages insolites sur la mort (Stray Dogs, Woman At The Wheel, Thrust In Me et I Hate You Now). The Right Side of my Brain qui brosse le portrait d’une schizophrène. You Killed Me First qui casse la représentation de la cellule familiale aimante à travers un repas familial tournant vinaigre. Submit to me now qui montre des performers jouant au sadomasochisme. De cette collection, Fingered est sans doute son film le plus connu. C’est aussi celui qui a soulevé le plus de problèmes. A chaque diffusion publique de l’objet – que Lydia Lunch ne trouvait pas assez violent –, Kern a reçu des quolibets en se faisant maltraiter par des spectateurs furax. Les imperfections formelles (faux raccords et plans approximatifs), inhérents à ce cinéma, sont érigés en idéal de cinéma.

Mais cette période de bouillonnement créatif fut extrêmement courte. Elle ne s’étend que jusqu’en 1987. Année où Kern oublie ses velléités de cinéaste punk, se barre à San Francisco pour y traîner entre désir d’échapper à soi-même et fréquentation de petites frappes. Un an d’autodestruction plus tard, il revient à New York, essaye de se racheter une conduite, reprend la photographie en alternant avec un boulot alimentaire et contribue au lancement d’un nouveau genre : le porno chic. Film Threat Video a rassemblé tous les courts métrages de Kern pour les distribuer dans le monde entier. C’est grâce à ces travaux qu’il a pu s’attirer les faveurs d’artistes aussi divers qu’Asia Argento ou Vincent Gallo qui ont tous les deux posés pour lui. Ou encore réaliser des clips pour Marilyn Manson (le clip Lunchbox) ou le groupe Sonic Youth avec lequel il a commencé dans les années 80. La boucle artistique est joliment bouclée. Aujourd’hui, il expose dans les galeries New-Yorkaises et ses travaux font le tour du monde de Tokyo à Paris. Ses films sont regroupés sous l’appellation « HardCore » (rien à voir avec Paul Schrader), dispo en zone 2 chez le courageux éditeur Le chat qui fume.

vendredi 9 avril 2010

The vandelles !

Du Rock BORDEL !!
Oui, oui pas de problème voici "The Vandelles"
un pur son US venant tout droit de New- york City ! et ouais New-York ...
ça envoi sa mémé !!
gros riff entêtant, reverbe à la "My bloody valentine" mélodies insolentes !
j'adore !!!
je parlais de santiags et de poussière terreuse (dédicace à Jéjé !!) dans un post un peu plus bas , ben la pour le coup on 'y est complètement !
mais elle est ou ma mustang ?!!!

j'ai l'impression qu'il y'a un sacré lien de "parenté" avec " A Place To Bury Strangers "
je vais aller voir ça de plus près !



tu sais pas trop quoi en penser ? ok, écoute le Myspace :

http://www.myspace.com/thevandelles

jeudi 8 avril 2010

SARAH MOON I LOVE YOU !


Ce qui est avant tout marquant dans l’œuvre de Sarah Moon, c’est son rapport à la fiction. Depuis ses premiers clichés, les photographies de Sarah Moon n’ont eu de cesse d’illustrer un certain désir de détachement de la réalité. À ses débuts, son choix de se lancer dans la photographie de mode ne pouvait aller que dans ce sens puisqu’il n’y est question que d’illusion, de séduction, de rêve et jamais de représentation fidèle du réel. En accord avec ce désir de fiction, ses photographies sont, pour la plupart, mises en scène. Il y a, chez Sarah Moon, une vraie volonté de brouiller les pistes, autant par ses choix de mises en scènes irréelles que par le traitement particulier de ses images qui est devenu sa signature. Robert Delpire entre autres a dit de sa photographie qu’elle tend à « déréaliser » tout ce qu’elle prend[2].

Le processus de développement (effectué par Patrick Toussaint tout au long de sa carrière) joue un rôle capital dans l’œuvre de Sarah Moon. Une grande partie de ses tirages sont marqués par des dégradations. Ces procédés de dégradation de l’image évoquent le temps, la décomposition, l’avancée inexorable vers la destruction et, dissimulant parfois une partie de la scène représentée (souvent les bords du cadre), ces accidents provoqués lors du développement se font représentations de l’absence du passé dans le présent, de la perte de l’impression vécue, du manque, de la fragilité du souvenir.

De plus, l’apparition des tâches, et d’« accidents » minutieux sur le négatif ou lors du tirage de ses épreuves forme comme des strates représentant elles-mêmes la photographie et ses procédés techniques. Dans une grande partie de ses œuvres, cette mise en abîme en filigrane de la photographie dans la photographie reflète sa vision de son outil et de son art comme un « mensonge », comme une illusion. Cette esthétique des tirages de Sarah Moon éloigne les scènes représentées de la réalité et de l’anecdotique pour les ancrer dans la fiction – hors du réel et hors du temps.

Outre les dégradations, des flous interviennent dans une grande partie de ses photographies. Deux types de flous sont récurrents : des flous dus au mouvement du sujet et à un long temps de pose ; et des flous orchestrés par des expositions répétées d’une même image légèrement décalée à chaque fois, dédoublant ainsi les contours sur le papier photographique et annihilant toute prétendue vérité.


Sarah Moon a souvent pris le conte pour sujet, prolongeant ainsi ses autres thèmes de prédilection que sont l’enfance et l’imaginaire. Ainsi a-t-elle réalisé en 1985, une série d’illustrations photographiques du conte du Petit Chaperon rouge. Cette série fut publiée dans un livre, accompagnée du texte de Charles Perrault. Son film La Sirène d’Auderville (2007) révèle également son intérêt pour les contes d’Andersen.

Alain Fleischer (Les Films de Sarah Moon ou l’invention d’un genre) a rapproché les films de Sarah Moon du registre du conte, mais il en va de même pour ses photographies. Au-delà des thèmes du conte et de l'imaginaire enfantin, la présence de la photographe en tant que narratrice se fait sentir dans bon nombre de ses clichés. Cette présence se dégage notamment de ses portraits aux regards intenses et directs, où transparaît clairement le contact entre le photographe et le sujet. Dans ces photographies se construit un tissu de relations entre sujet, photographe et spectateur s'apparentant aux relations entre spectateur, conteur et conte.

lundi 5 avril 2010

Red lorry yellow lorry est un groupe de musique rock anglais de Leeds comme Sisters of Mercy.

Le groupe s'est formé en 1982 autour de Chris Reed, très vite, les premières démos aboutirent à des enregistrement, et John Peel s'interessa à leur travail et le soutint. La musique du groupe, dès le départ, était marquée par les sonorités de guitare, la voix grave du chanteur, et des textes expimant l'angoisse ou la terreur.

Le premier album du groupe fut réalisé en 1985, après plusieurs tournées européennes.

En 2004, le groupe s'est reformé pour une tournée.



mardi 16 mars 2010

SIGLO XX Musique Sexy !

J'etais chez moi en train d'écouter Siglo xx
Je ne pouvais pas passer a coté de ce groupe sur mon blog !
Je crois que c'est la cold la plus "chaude" que je connaisse, pas d'humeur Dracula ici,
Mais un son sexy à souhait !
Les Belges "sentent" les Valleys Américaines, la poussière terreuse , j'enfilerai presque mes tiags pour l'occas !
pas banal pour un groupe de cold Wave !

(Mention spéciale pour l'album "under a purpel sky")

Siglo XX est un groupe de musique classé Cold wave des années 80. Les membres du groupe sont originaires de Genk (Limbourg), en Belgique néerlandophone. Genk est une ancienne région minière, qui a souffert de la dépression post-industrielle (grande pauvreté, taux de chômage important). Ce climat social assez pâle fût une grande inspiration pour la musique sombre et torturée du groupe.

Siglo XX - Baby Divine
envoyé par djimix08. - Regardez d'autres vidéos de musique.