vendredi 20 août 2010
Sonic Youth - The Ineffable Me
Lyrics:
cant catch me
im syntax free
im preconceived
preternaturally
i dont invest
in what is best
your once and for all
means shit to me
hate translator
hate translator
hate translator
you cant catch me
dont mistake her
dont misshape her
you dont mutate her
you cant get me
the radical beacon
the preverbal season
the abstract poetics
immediate treason
do you remember
reductionist lie
fundamentalist
alibi
hate castrater
hate castrater
hate castrater
dont fuck with me
dont you break her
and dont deflate her
dont outdate her
or youll fuck with me
its a cushy job
a pussys job
a cum junkies job
makes my dick throb
feel...ineffable
cant catch me
im syntax free
im preconceived
prehistoricly
dont be alarmed
dont be alarmed
dont be alarmed
its only me
come back in my arms
back in my arms
back in my arms
the ineffable me
samedi 17 juillet 2010
Washing Machine Sonic Youth
vendredi 16 juillet 2010
Lee Renaldo Vendredi 23 juillet 2010 21h Au Midi festival

Source Midi festival :
Deux groupes anglais et trois Américains, soit 5 possibilités musicales d’inaugurer comme il se doit la sixième édition du MIDI festival. Les portes des jardins nord de la Villa Noailles s’ouvriront à 18:00 et un verre de vin sera offert aux 100 premiers festivaliers.
Invité de choix de cette première soirée, Lee Ranaldo, écrivain, producteur, artiste visuel et génial guitariste/chanteur d’un des groupes majeurs de la musique américaine moderne, nous a concocté une balade acoustique dans le répertoire de Sonic Youth et plus si affinités… Après le concert, qui s’annonce déjà comme un événement, Lee Ranaldo investira la pinède pour une séance de dédicace de son dernier livre « Water Days » disponible aux édition Dis Voir.
VENDREDI 23 JUILLET
20:00 - 20:40 FERGUS & GERONIMO - USA
21:00 - 21:40 LEE RANALDO - USA
22:00 - 22:40 VIVIAN GIRLS - USA
23:00 - 00:00 EGYPTIAN HIP HOP - UK
samedi 19 juin 2010
DNA - You And You (1978)
jeudi 17 juin 2010
Sonic youth "i dreamed i dream"
Look before you leap, okay?
Do you read me?
May all your dreams come true
He's standing by the door
He's got something in his hands
All the money's gone
All the money's gone
The days we spend, go on and on
Shift
Fucking youth
Working youth
May all your dreams come true
A lot of people suffer
From impotence
All the money's gone
The days we spend go on and on
Fucking youth
Working youth
Fucking youth
Working youth
Fucking youth
Fucking youth
Working youth [Lee]
You slept
Did I drift?
Do I dream?
Do you read me?
I'm not speaking
Do you read me?
I dream
I dream
Sound today are you sound today
are you sound today?
Sound today are you sound today
are you sound today?
Today
These things don't happen
automatically
I dream
Edith moves each step
Fucking youth
The days we spent go on and on
I dream
Do you read me?
mercredi 16 juin 2010
Sonic youth mon Amour !

Pemière écoute, première claque en 94, j'avais 13 ans ,premier coup de foudre, premier amour.
2O10 tournent encore sur mes platines, jamais lacée et ça continue à couler dans mes veines ...
Sonic youth le plus grand tournant de ma vie....
dimanche 2 mai 2010
Erase Errata la relève No Wave !!!

Post-punk, post modern, post hardcore mais surtout NO wave ! voila un groupe qui prend dignement la relève en 2010, ça fait d'autant plus plaisir car Erase Errata est composé de 4 nanas complètement barges bourrées de talent.
En écoutant on pourrait croire que les demoiselles viennent de la scène New-yorkaise , mais cette fois-ci le quatuor déglingué vient tout droit de San Francisco.
c'est frais, expérimental, musical, inventif, "couillu" et j'en passe !! je suis hyper fane ...
allez en route avec deux clips et un mp3.....




la page myspace : http://www.myspace.com/eraseerrata
jeudi 11 février 2010
Downtown '81 / Basquiat

1981, James White and The Blacks est au centre de la B.O. de l'underground new yorkais. 25 ans plus tard, les Frigos, anciens entrepôts de Paris font revivre le mythe. Détonateur de ce retour vers le passé, la sortie en DVD d'un film fou qui a passé 20 ans au trou. Le personnage principal du film, un jeune graffeur new-yorkais fauché comme les blés et alors inconnu : Jean Michel Basquiat. 6 ans plus tard, devenu star de l'art contemporain, il meurt d'une overdose. Dans Downtown '81 , Basquiat joue son propre rôle et transforme cette fiction en véritable documentaire sur l'underground new-yorkais.
Les protagonistes sont pour la plupart tout droit sortis de la scène musicale comme Debbie Harry de Blondie. Le réalisateur de Downtown '81, c'est le photographe Suisse-Italien Edo Bertoglio qui débarque à New York en 76. Son loft devient la plaque tournante du Manhattan arty. Quant à la productrice du film, Maripol, elle est omniprésente dans le New York branché des années 80 : styliste, directrice artistique, photographe accroc au polaroïds. C'est grâce à son acharnement que le film sort aujourd'hui des oubliettes.
Dérive musical, Downtown '81 traverse les sons qui ébranlent Big Apple de la no wave sous haute tension de D.N.A. au hip hop naissant. Un film cultissime qui fait l'unanimité.
-Le film
Downtown '81
Réalisé par Edo Bertoglio
Produit par Maripol
avec : Jean Michel Basquiat, Debbie Harry, James White and The Blacks, Kid Creale and The Coconuts, Tuxedomoon, DNA, The Plastics, Walter Steding...
JEAN-MICHEL BASQUIAT :





Liens:
-Le site officiel du film
-Interview avec Maripol autour de Downtown 81 sur Chronic'art
mercredi 10 février 2010
Pionnier du Mouvement Noisy (NO WAVE )

Mars est un groupe new-yorkais de la fin des années 1970, souvent considéré comme l'initiateur du mouvement. Fondé à l'origine en 1975 par le chanteur Sumner Crane sous le nom de China, c'est seulement vers 1977 que la formation émerge sur la scène bruitiste locale, avant de participer en 1978 à la compilation No New York de Brian Eno, qui marque la véritable naissance du mouvement no wave et la consécration du groupe. Le groupe est dissous la même année mais restera dans les mémoires grâce à plusieurs publications posthumes.

James Chance (né le 20 avril 1953), connu également sous le nom de James White, est un musicien saxophoniste américain considéré comme une des figures clés du mouvement no wave.
Il a joué avec, ou fondé, des groupes tel que Teenage Jesus and the Jerks, James Chance and the Contortions, James White and the Blacks, The Flaming Demonics, James Chance & the Sardonic Symphonics et James Chance and Terminal City.James Chance and The Contortions - I Can't Stand Myself
James Chance and The Contortions - I Can't Stand Myself
DNA
La formation originale était composée de Lindsay, Crutchfield, Gordon Stevenson, et Mirielle Cervenka. Cette incarnation fut brève, sans même un concert car Stevenson partit jouer de la basse avec Teenage Jesus and the Jerks et Cervenka quitta le groupe (c'était la petite sœure d'Exene Cervenka de X). Lindsay et Crutchfield recrutèrent ensuite Ikue Mori en tant que batteuse, une japonaise qui parlait mal l'anglais et n'avait pas de batterie...
Cette formation se produisit au CBGB et à Max's Kansas City et enregistra un 45 tours. Dès leur première année d'existence, leur réputation était faite et ils furent choisis par Brian Eno pour apparaître sur la compilation séminale No New York, la première à faire connaître le courant en dehors du Lower Manhattan (apparaissaient aussi The Contortions de James Chance, Teenage Jesus and the Jerks, et Mars).Quelques temps plus tard, Crutchfield quitta le groupe pour former Dark Day et fut remplacé par Tim Wright, précédemment membre de Pere Ubu, groupe du Cleveland-punk. Wright jouait de la basse et était le seul membre à avoir des compétences musicales ordinaires mais la musique devint encore plus spontanée et rugueuse, ses lignes de basse créant un fond menaçant aux sons de guitare atonaux et grinçants de Arto Lindsay et aux rythmes irréguliers de Ikue Mori. Leurs morceaux étaient désormais brefs et abstraits. Leur public se recrutait plutôt dans les cercles de l'art que dans ceux du rock et ils se produisaient peu en dehors des clubs du Lower Manhattan.
DNA live
Teenage Jesus and the Jerks : Réputés pour faire des concerts de dix minutes, exécutant des chansons de trente secondes (bien que The Closet et I woke up durent jusqu'à trois minutes et la performance parfois vingt), ils cherchaient une voie musicale au delà du punk, que Lydia Lunch considérait comme une forme de traditionalisme ("Je trouvais que le punk était du Chuck Berry moche joué plus fort et trois fois plus vite" dira-t-elle plus tard). Leur jeu frénétique et les cris perçants de Lydia Lunch leur valurent rapidement une renommée égale voire supérieure à celle d'autres formations no wave comme DNA ou Mars.
Le groupe a laissé derrière lui des enregistrements d'une douzaine de chansons complètes. La plupart furent publiées en 1995 sur le CD Everything, qui dure 18 minutes. D'autres morceaux enregistrés ainsi que des concerts n'y figurent cependant pas. James Chance et Lydia Lunch ont continué chacun de leur côté leur carrière dans le milieu musical et artistique underground de New-York et d'ailleurs.
Teenage Jesus and the Jerks :Atomic bongos
SONIC YOUTH / CONFUSION IS SEX / BAD MOON RISING



Du post-punk glacial du maxi Sonic Youth à la no-wave abrasive de Confusion is Sex en passant par le noise rock déglingué de Bad Moon Rising, peu d'autres groupes auront tant maltraité le rock et ses règles, le rock et ses standards, le rock et sa tendance à la branlette technico-progressive post-fleursdanslescheuveux. En tout cas, peu de groupes formés sur une base si typiquement rock. L'indétrônable basse/batterie/guitare détourné au profit d'une musique sans structure commune voir sans structure aucune, d'une musique en grande partie constituée de bruits tirés des amplis de Lee et de Thurston. Tabula rasa des solos de synthé/guitare leplusrapideetaigueagagné, ici on te défonce le tympan à coups de chainsawpicking, de larsens, d'accords qui n'en sont stricto senso pas. Les musiciens prennent un malin plaisir à faire transparaître les bas fonds de la ville qui ne dort jamais, dans lesquels ils vivent, au travers de leur musique. Trafic de drogue, prostitution, crimes, immeubles en ruines, appartements insalubres et politique nationale décadente et à forte teneur martiale. Les membres du groupe ne voulaient pas, ne pouvaient pas composer autre chose que ce dont ils ont accouché.
Ces trois disques sont une fresque de leur époque, les témoins de la vie telle qu'elle pouvait l'être à cet endroit, à ce moment.
Ces trois disques sont les racines du reste de la discographie du groupe et, par là-même, la base de nombres de groupes de rock indépendants s'étant inspirés de la musique de Sonic Youth durant le reste de la décennie, la décennie suivante, la décennie actuelle.
Il y a un avant et un après Sonic Youth.
Sonic Youth - Making The Nature Scene - Live in Poitier 1983
Ciccone youth : whitey Album

mardi 9 février 2010
La no wave n'est pas un genre musical clairement définissable. De nombreux groupes rattachés au mouvement ont navigué entre funk, jazz, rock, punk rock et avant-garde, sous l'influence générale du minimalisme.
Parmi les principaux représentants de la scène no wave on peut citer James Chance and the Contortions, James White and The Blacks, Teenage Jesus and the Jerks, Lydia Lunch, 8-eyed spy, Mars, Don King, DNA, Lizzy Mercier Descloux, Glenn Branca et ses Theoretical Girls, The Static, Ut, Red Transistor, Von Lmo, The Blue Humans, Judy Nylon, Y Pants, Tone Death, Rhys Chatham ou encore The Gynecologists. D'autres comme Blurt et Tuxedomoon ont également été liés à cette scène à l'occasion de leurs séjours new-yorkais à la fin des années soixante-dix.
Si le mouvement s'essouffle en 1983, nombreux cependant sont les artistes qui, dans les années 1980, 1990 et 2000, mentionnent la no wave dans leurs sources d'inspiration directes ou indirectes. Parmi ces "enfants" de la no wave, on peut citer Sonic Youth, Swans, The Birthday Party (avec Nick Cave), God Is My Co-Pilot, Dog faced Hermans ou, plus récemment, Erase Errata, Deerhoof et Liars.
Malgré une confidentialité certaine, le mouvement a suscité de nombreux adeptes, notamment parmi les journalistes musicaux. Par exemple en France, le critique de rock Yves Adrien fit la louange des groupes no wave et fut l'un des rares à soutenir en France dans ses articles de l'époque dans Rock & Folk. Plus récemment le courant semble connaître un renouveau d'intérêt. En 2004 Scott Crary a réalisé un documentaire consacré à la scène no wave intitulé Kill Your Idols [11]. Christoph Dreher, fondateur du groupe Die Haut, réalise en 2009 Berlin, New York et la musique «underground», entouré de Jim Jarmusch, Nick Cave, Lydia Lunch, ou encore Jim Sclavunos. En 2008, trois livres traitant de la no wave ont été publiés : New York Noise de Soul Jazz Records, No Wave de Marc Masterset No Wave: Post-Punk. Underground. New York. 1976-1980 par Thurston Moore et Byron Coley.